Euthanasie - suite
En fait je m'aperçois que l'euthanasie peut aussi s'appliquer aux objets abstraits, comme les sentiments. Il en est que l'on ne doit pas laisser survivre, aussi beaux soient-ils, car ils ne sont pas viables. Une simple amniocentèse faite à temps, quand ils étaient au stade embryonnaire, aurait pu permettre de détecter leur infirmité (congénitale ? héréditaire ?). Mais las, le temps passe, ils grandissent, et c'est plus tard qu'il faut bien se résoudre... Leur mort est la condition nécessaire (mais pas suffisante) pour tenter d'en enfanter de nouveaux.
Puisque c'est l'année du Karcher, profitons en, et euthanasions large, comme on laboure un champ avant l'hiver pour pouvoir semer au printemps.